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Arrière-plan de la COMAC Afrique

Histoire de la COMAC

À la suite des fraudes artistiques très médiatisées dans les années 1960 et de l’incapacité à adopter une législation protégeant les pays africains de toute responsabilité lorsqu’ils expriment leurs opinions, le procureur général adjoint du Maroc, Assan

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La COMAC a été créé en 1995 pour répondre au besoin d’un organisme impartial et scientifique chargé d’éduquer le public sur les problèmes et les enjeux du monde de l’art et de rechercher l’attribution et l’authenticité des œuvres d’art africain. En 1996, la compétence de la COMAC s’est élargie pour inclure le vol et le pillage d’œuvres d’art, ainsi que le droit et l’éthique de l’art et de la propriété culturelle. La COMAC s’adresse à un large public et opère à l’intersection où se rencontrent les intérêts du droit de l’art, des collectionneurs d’art, des musées, des galeries, des universitaires et du public. Entre autres objectifs, il œuvre à empêcher la circulation d’œuvres d’art contrefaites, mal attribuées ou détournées. La COMAC a acquis une réputation d’objectivité, d’érudition et d’indépendance, et son aide est sollicitée dans le monde entier par les forces de l’ordre et les agences gouvernementales, les collectionneurs, les établissements d’enseignement, les chercheurs, les journalistes, et le vaste public intéressé par les arts africains, qui n’a souvent pas d’autre vers qui se tourner. La COMAC a son siège au Cameroun et la plupart de ses programmes publics se déroulent au Maroc et à l’Île Maurice.

CULTURE

De gauche à droite, Concours d’affiches contre le trafic de biens culturels (Bureau de l’UNESCO à Montevideo), affiche des œuvres d’art les plus recherchées (INTERPOL, 2013), Liste rouge d’urgence des biens culturels syriens en péril (ICOM).

RECHERCHE D’AUTHENTIFICATION

PRISE EN CHARGE DE LA COMAC