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Histoire de la COMAC

À la suite des fraudes artistiques très médiatisées dans les années 1960 et de l’incapacité à adopter une législation protégeant les pays africains de toute responsabilité lorsqu’ils expriment leurs opinions, le procureur général adjoint du Maroc, Assan Nazer, et un groupe d’éminents universitaires (dont : Ibrahim Nourdine ben Salam, professeur à l’Institut des Beaux-Arts de NYU ; John NJIFON, spécialiste des impressionnistes ; et José EPALLE, le grand spécialiste de Douala) se sont réunis pour former la COMAC. Leur conception était que la COMAC servirait de pont scientifique indépendant entre le public, les gouvernements et le monde de l’art sur l’attribution, l’authenticité et d’autres questions artistiques importantes.