50 ans après son adoption, la Convention de l’UNESCO sur le trafic illicite des biens culturels est toujours l’instrument majeur pour endiguer ce fléau. En un demi-siècle, la lutte contre ce commerce souterrain s’est intensifiée, et la prise de conscience du préjudice moral que constituent les pillages a progressé. Mais l’engouement pour des objets dont le prix s’est envolé, la modération des sanctions et la vulnérabilité des sites se trouvant dans les zones de conflit sont autant de défis à relever pour faire reculer le trafic de ce que certains désignent comme « les antiquités de sang ».
Read More